Dans leur état actuel, les façades sur rue et cour et l’escalier pâtissent des effets de campagnes de réfection inadaptées ayant conduit, entre autre, à la mise en œuvre d’enduits extérieurs et intérieurs clairement incompatibles, tant sur le plan technique que patrimonial.

Une première tranche de travaux portera prochainement sur la restauration de la cage d’escalier, dont le garde-corps bénéficie d’une inscription sur l’Inventaire Supplémentaire des Monuments  Historiques par arrêté du 25 février 1974.